Catégories : FANTASME
il y a 4 ans
Pour répondre à votre question, je rêve de vivre une réelle soumission qui ne soit pas un simple jeu.
Quelque chose qui soit bien plus qu’une séance. Je suis prêt à beaucoup de choses, n’hésitez pas à me tester, vous ne serez pas déçue. Et si par inadvertance, je venais à refuser quelque chose à vous ou à votre mari, n’hésitez pas à me contraindre, cela fera partie de la formation que je suis prêt à accepter.
Mes respectueuses salutations,
En adressant cela au couple BDSM94 sur ce nouveau site 100 % gratuit, Bbondy était loin de s’imaginer que ses fantasmes allaient être très largement dépassés. En effet, Madame Clara est une dominatrice expérimentée, très connue dans le réseau BDSM parisien et sur Fessestivites.
La réponse ne tarda pas.
« Soumis, j’accepte de te prendre en charge un week-end entier. Ne me déçoit pas et surtout ne loupe pas le rendez-vous que je vais te fixer car je ne te donnerai pas une deuxième chance.
Vendredi à 17 heures précise, tu iras au 8 de la rue des Poissonniers. Le code de la porte est 3689. Tu entreras et prendras la porte de gauche qui conduit dans les caves. Dans la numéro 5 qui ne sera pas fermée à clé, tu te mettras nu et enfilera une cagoule qui t’attendra avec une paire de menottes. Tu mettras les menottes mains dans le dos et attendra que je vienne te chercher. Je te promets de te faire vivre tous tes fantasmes et que tu seras libre lundi.
Madame Clara »
Bbondy est excité comme une puce, Madame Clara est une Maîtresse réputée, il croit qu’il va être entre de bonnes mains. S’il savait....
S’il savait ce qui l’attend en descendant dans les caves indiquées et en pénétrant dans la numéro 5, il prendrait ses jambes à son cou. Au lieu de ça, après avoir allumé la lumière, il tire la porte métallique derrière lui et découvre avec stupeur qu’elle ressemble à une véritable cellule. Un lit une place, en métal, est fixé au sol. Au mur et au plafond il y a de gros anneaux d’acier. Sur le matelas se trouve effectivement une cagoule en cuir et des menottes. Un peu apeuré quand il se met nu comme demandé car au moment d’enfiler la cagoule, il constate que la porte d’entrée est capitonnée. Il hésite un moment mais pour ne pas décevoir une aussi grande dame, il enfile la cagoule et se menotte rapidement pour être sûr de ne pas fuir.
L’USURPATION D’IDENTITE
Bbondy ne pouvait savoir que la Maîtresse se faisant appeler Madame Clara sur ce site qu’il ne connaissait pas n’est pas la fameuse dame dont la réputation est si connue. Il s’est jeté dans les griffes d’une usurpatrice d’identité. Elle entretient également des relations particulières avec la mafia. Et pour cause, son mari y est très actif, surtout du côté de Barbes..... Elle est de celles dont Fessestivites trace les IP et installe une surveillance pendant 48 heures.
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Une heure plus tard, la fausse Madame Clara entre dans la cave s’avérant effectivement être une cellule. Le dernier à l’avoir fréquenté a été suspendu par les testicules et fouetté jusqu’à ce que mort s’en suive. C’était une soirée réservée à des clients douteux payants les 2000 euros en espèces. Le genre de soirée qui ne s’annonce pas sur des sites comme Fessestivites.
Accompagnée de ses hommes de mains, ayant vérifié qu’il n’était pas suivi, elle l’oblige à se lever. L’une des brutes accroche une corde à ses menottes puis la passe dans un des anneaux du plafond. Bbondy n’a pas d’autres choix que de se pencher en avant pour ne pas avoir les épaules déboîtées. Il crie de douleur et explique que c’est trop tendu, on lui répond qu’il a le temps de crier, que pour l’instant ce n’est rien.
L’usurpatrice n’est pas une vraie Maîtresse, elle n’aime pas dominer les hommes au sens BDSM ou même gynarchique, non, c’est bien pire. Son BDSM a elle, c’est un peu comme un chat qui s’amuse avec une souris. Cet animal si doux, si câlin qui laisse à la souris un moment d’espoir puis, au denier moment, qui lui plante ses griffes dans le dos pour la ramener sur son terrain de jeu.
Pour éviter que les clients et clientes aient des désagréments, elle plante sans précaution un canule à lavement dans les fesses de Bbondy. Deux litres d’eau savonneuse lui sont injectés avec la promesse de lui arracher les couilles s’il a une fuite. En bon soumis il lui répond « oui Madame » et supporte avec beaucoup de difficulté côté anus, et de crampes dans le ventre, l’injection des deux litres. Lorsque les deux poches à lavement sont vides, le Brutus desserre la corde, Bbondy peut enfin se redresser et s’asseoir sur un seau. Horriblement gêné, pendant de longues minutes il se vide de l’eau et des matières fécales encombrant ses intestins.
- Tu es un bon soumis, je vais t’accorder une récompense et te faire plaisir deux fois ! Lui indique l’usurpatrice une fois que les hommes de mains eurent quitté les lieux avec le seau d’aisance. Tu aimes lécher les dames et les couches pour personne incontinente, tes fantasmes vont être exaucés.
Après avoir retiré la corde, Bbondy toujours menotté se laisse guider sur le lit aux barreaux d’acier. Il s’y allonge et commence à rêver un peu quand elle lui met une couche. Ce n’est pas qu’elle ait envie de faire de l’ABDL, non non, c’est juste pour éviter que les fuites anales qui suivent un énorme lavement, polluent la cellule et le matelas. Mais ça, il ne peut le savoir.
Elle ferme la cellule de l’intérieur et retire sa robe puis sa culotte pour se faire lécher et s’accorder un moment de plaisir. Préparer un soumis pour ses soirées l’excite toujours, tout comme les manipuler. Elle enjambe la tête de Bbondy, retire la bande de cuir couvrant la bouche avant de s’asseoir sur son visage en lui ordonnant de la lécher. Hélas pour lui, en cette période il fait chaud à Paris et la douche de l’usurpatrice date de la veille. Un parfum de femme négligée heurte ses papilles gustatives et ses narines. Un bon soumis, il s’oblige à ne rien dire quand il lèche mais son propre plaisir, n’y est pas. De fait la grande sadique décide de commencer à s’amuser un peu avec la marchandise.
Elle se lève pour attraper quelques accessoires du type clamps médicaux en guise de pinces à sein. Son envie de faire souffrir ne se limitera pas à ces pinces particulièrement douloureuses, elle prend également son kit CBT pour les couilles de soumis. Constitué d’une corde avec un gros noeuds coulant à son extrémité, il est passé dans un des anneaux du plafond de la cellule puis autour des couilles de Bbondy après qu’elle ait écarté la couche. Quand elle le serre, cela provoque une érection quasi immédiate au pauvre soumis ne pouvant se douter que dans les secondes qui suivent, elle accrochera des poids à ce balancier particulier.
Au premier kilogramme, l’érection de Bbondy est déjà très respectueuse. Au deuxième cela commence à faire vraiment mal, au troisième la douleur devient vraiment très forte. Aux deux suivant il s’affole et commence à crier.
- Voilà une belle bite bien tendue, ça te fait bien bander d’avoir mal, tu es un bon soumis. Je te promet une belle soirée si tu continues à t’investir comme ça pour me plaire ! S’amuse à mentir l’usurpatrice. Mais tu comprends, comme tu me suçais mal, j’ai été obligée de sévir un peu. Maintenant, je vais te poser deux « petites » pinces à sein, tu vas adorer.
Lorsqu’elle pose le premier clamp sur son sein gauche, Bbondy se met à hurler et à bondir sur le lit. Au plus il bouge, au plus cela tire sur le dispositif CBT et augmente la tension.
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Tu me suceras bien maintenant ?
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Oui Maîtresse mais s’il vous plait, retirer une pince je vous en supplie.
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Non, je ne te mettrai pas la deuxième si tu t’appliques et me donne du plaisir comme un bon soumis doit le faire. Lui répond la sadique en enjambant son visage.
Cette fois, le parfum et le goût ne sont plus un problème pour lui. Pour qu’elle jouisse le plus vite possible et le libère un peu, il est près à tous les « sacrilangue », pardon, sacrifice. Son investissement linguistique est tel que le sexe de l’usurpatrice est rapidement nettoyé, sa propriétaire apprécie l’investissement de Bbondy et ne tarde pas à éprouver du plaisir. Après une première jouissance, elle cherche à en avoir une deuxième, le soumis s’investit toujours autant mais, en femme pressée et exigeante, la sadique pose le deuxième clamp sur le téton épargné jusqu’à présent.
La douleur est telle qu’il se défoule de la langue, qu’elle ait muté et peu et lui fasse lécher son petit trou n’ayant servi que dans un sens ne lui pose pas de problème. Son seul but est de la satisfaire au plus vite, quelque en soit le goût rapporté par sa langue. Il lape donc entre ses fesses en essayant de ne pas étouffer justement avec le nez entre ses f..... généreuses.
Une demi-heure plus tard, Bbondy hurle à plein poumons dans le « gros fessier » quand elle lui retire les clamps. Le retour du s a n g bien trop rapide dans ses tétons lui fait presque perdre connaissance. Le retrait de son kit CBT pour les couilles de soumis est aussi douloureux mais bien plus supportable. Ce qu’il ne peut voir quand elle remonte la couche, c’est que la totalité de son sexe est bleu.
- Tu es un bon chien, je suis contente de toi. Si ce soir tu es aussi sage, je crois que l’on se reverra souvent ! Ment l’usurpatrice sans aucune honte en le faisant descendre du lit pour le mettre à genoux. Lèche les pieds de ta Maîtresse chien !
Après ce qu’il vient de vivre, Bbondy n’a absolument pas envie qu’elle se mette en colère après lui. Il trouve juste que « Madame Clara » est bien plus dure qu’il n’a pu le lire sur internet. Il lui lèche donc les pieds comme un vrai chien pendant un long moment, l’usurpatrice adore ce type de massage. Elle envisage même de prendre un soumis juste pour ça.
- Bon, je vais te laisser te reposer, tu l’as bien mérité. Je viendrai te chercher un peu avant la soirée pour te préparer.
Abandonné comme ça, il tâtonne un peu pour remonter sur le lit pour s’étendre sur le ventre et soulager ses poignets toujours menottés. Ses tétons étant très rancuniers, il change aussitôt de position pour se caler sur le côté.
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Ici manu. Elle ressort de l’immeuble ! Indique un des policiers en planque dans une fourgonnette garée dans la rue.
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Elle est seule ? Demande le capitaine de gendarmerie garé dans une voiture banalisée à trois rue de là.
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Oui, mais il faudra faire attention, elle est très vigilante et n’arrête pas de se retourner.
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Bien reçu, je demande des renforts ! Répond le capitaine en charge de l’enquête sur la disparition d’hommes de tout âge dans la région.
Ce qui pose problème dans cette enquête de gendarmerie, c’est que les personnes disparues ne sont pas obligatoirement riches. Professionnellement, elles ont des métiers divers, du commerçant au chômeur, à l’ouvrier d’une usine ou au fonctionnaire en charge des archives de la mairie. Aucun point commun, cela n’est donc pas pour du chantage ou du racket. A cela se rajoute qu’ils sont de tout âge, cela va de 20 ans à 50 ans. Le seul point commun est le BDSM d’après ce qu’ils ont pu trouver sur les ordinateurs des disparus.
Sur l’un d’eux, l’informaticien de la gendarmerie a pu localiser un IP réel parmi tous les IP bidons, des VPN utilisés pour éviter la géo localisation. Un des VPN était foireux, il a pu remonter jusqu’au fournisseur d’accès qui, sur demande du parquet, lui a confié les coordonnées et l’adresse de son client. Une femme prénommée Jeanne Roux utilise cette connexion internet plusieurs fois par jour et surtout la nuit. Ses derniers achats ont pu être pistés, principalement des boutiques BDSM et de vêtements fétichistes de luxe. Sans avoir besoin du détail, ils ont compris qu’elle doit travailler dans le monde de la nuit.
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Mon capitaine, j’ai d’autres informations intéressantes ? Indique par radio un des enquêteurs resté au bureau.
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J’écoute !
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La brigade financière m’indique qu’elle a de nombreux appartements et des comptes en banque bien remplis qui ne servent que très peu. Hormis pour les achats sur internet, elle ne se sert que rarement de ses cartes bancaires et ne fait jamais de retrait. De toute évidence, elle a un business lucratif qui se paye en espèce.
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Je m’en doutais un peu !
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Attendez mon capitaine, je n’ai pas terminé. Un de ses appartements appartenait à un homme qui se serait suicidé il y a un an. Un autre appartenait à un homme qui serait tombé dans la Seine il y a cinq ans. Disons que si je mets au conditionnel les causes des décès, c’est parce que j’ai de sérieux doutes....
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OK, ce soir tu me mobilises tout le monde. Filature en moto et voitures banalisées. Tu fais un rapport au procureur et demandes un mandat pour écoute téléphonique et suivi de son ou ses téléphones mobiles s’ils sont identifiés.
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Bien mon capitaine !
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Il est 21h lorsque l’usurpatrice de l’identité de Madame Clara pénètre dans la cellule où Bbondy a finit par s’endormir. Elle lui a apporté à boire et quelques madeleines à manger.
- Désolée j’ai été retardée, mais je vais me faire pardonner. Aller on va te laver et retirer cette couche, écarte les jambes pour que ta nounou s’occupe de toi.
Bbondy est heureux comme un prince, cette fois, Madame Clara est douce avec lui. Après lui avoir lavé les fesses, elle lui fait enfiler une tenue de chien tout en latex. Elle est ouverte derrière, cela va de soi. Elle lui demande de fermer les yeux, quand elle lui mettra la nouvelle cagoule, il ne doit pas tricher, c’est une surprise. Il joue le jeu de « sa Maîtresse » et garde les yeux fermés. Il n’est pas plus avancé une fois que l’échange est fait, cette cagoule de chien est aussi équipée pour l’aveugler. Après lui avoir passé un collier électrique à télécommande à distance, elle emballe son sexe dans une poche cloutée.
Il est parfumé et a le droit de manger des croquettes pour chien. Pas celle d’ABCplaisir qui sont destinées aux humains, non il ne faut pas rêver, ce sont de vraies friandises pour chien. Il est ensuite guidé dans le couloir des caves jusqu’à la porte de l’immeuble. Un 4x4 Range Rover dernier cri arrive et se gare en double file. L’usurpatrice couvre Bbondy d’une couverture pour le faire sortir et monter dans le véhicule.
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Ce soir, on va s’éclater, tu n’as pas intérêt à me décevoir !
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Je promets de faire l’impossible Madame ! Répond Bbondy.
Pour éviter qu’il ne stresse trop, la pseudo Madame Clara lui caresse l’entrejambe en lui disant qu’à l’occasion, elle n’aurait rien contre de tester son nouveau chien. Pour un soumis, ce type d’indication est un merveilleux cadeau. Il lui répond que ce serait un honneur ce qui fait sourire l’usurpatrice.
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Une demi-heure plus tard, ils entrent dans la cour d’une usine puis dans un hangar où les portes se sont ouvertes à leur arrivée et refermée immédiatement après. Le gendarme en moto ne s’arrête pas et passe sans même ralentir mais fait aussitôt un compte-rendu par radio. Un dispositif discret de surveillance est lancé avec une question : que viennent-ils faire dans une usine au milieu de la nuit ?
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La voiture s’arrête, Bbondy est invité à descendre pour être guidé dans une cage à chien sur roulette. La pseudo Madame Clara lui donne une croquette pour chien et le caresse à travers les barreaux pour le faire patienter, lorsqu’il arrive dans une grande salle emménagée en parcours d’éducation canine. Elle lui met un plug queue de chien et l’abandonne un instant. Bbondy ne peut la voir ni même comprendre qu’il va participer à une soirée de Furries et de Pets-play très spéciale.
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D’autres véhicules pénètrent dans la cour de cette usine puis dans le fameux hangar. Un des gendarmes tireur d’élite est allongé le toit de l’usine d’à côté. Grâce à la lunette de son fusil, il peut relever les numéros d’immatriculation des véhicules. A la gendarmerie, les enquêteurs font des recherches pour identifier mais surtout, trouver des informations sur les personnes qui viennent à ce qui semblerait être, une fête un peu spéciale. Il lui semble entendre des aboiements de chiens et donne aussitôt l’information.
Le substitut du procureur de permanence en est informé et donne l’autorisation de pénétrer dans les lieux, pour observer mais sans intervenir. Le GIGN ne tarde pas à se rendre sur les lieux et se mettre en position d’observation.
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« Mesdames et messieurs, la soirée va pouvoir commencer. Comme prévu, nous allons laisser les Furries et pets s’amuser sur les équipements. Les bagarres réelles ne sont autorisée au début de la soirée, mais les chiennes peuvent être couvertes si vous le désirez. »
Le luxe des véhicules et des tenues contraste fortement avec ce hagard très vétuste. Bbondy est conduit par la fausse Madame Clara au centre des installations. Elle lui retire les oeillères en lui disant qu’il doit lui faire honneur. Elle le guide par la laisse sur les équipements d’éducation canine, avant de le conduire à un carcan spécial chien soumis proche d’un pilori.
Ses pattes arrières sont bloquées par de grosses lanière de cuir, ses pattes avant suivent le même sort. Une sangle ventrale l’oblige à cambrer les fesses et l’immobilise. Bbondy ne peut pas être plus offert. Un pets-boy vient lui sentir puis lui lécher le cul, sa Maîtresse le complimente et lui demande de saillir le soumis. Comme il a les mains prisonnières de pattes en latex, au bout d’un moment elle est obligée de guider la verge de son chien.
En bon soumis décidé à plaire à sa Maîtresse, le pets s’enfonce brutalement dans le cul de Bbondy se mettant à hurler et à ruer dans ses entraves. Il joue à fond son jeu de chien et fait comme s’il voulait maintenir la femelle avec ses pattes avant, tout en donnant des coups de reins comme un malade. La pénétration sauvage et animale finit par perturber Bbondy, la douleur s’estompe, le fait d’être sauté comme ça en public le couvre de honte. En même temps, cette honte s’associe à l’acte sodomite et aux entraves puis au regard de sa Maîtresse à présent masquée qui le caresse. « Tu es une bonne chienne, c’est bien » s’amuse t’elle à lui dire.
Après s’être retiré de son fondement, le chien se doit de lécher l’orifice de la chienne, Bbondy le plaint un peu et comprend pourquoi il a subit un énorme lavement avant de venir. Un autre « toutou » vêtu d’une tenu recouverte de poil vient prendre la place du pets, sans même que son Maître le guide. Il place sa queue sur l’anus déjà ouvert par le chien précédent et saute « la chienne » de bon coeur, devant les spectateurs pendant que les puppys s’amusent à se battre dans un espace dédié.
La soirée avance dans une ambiance très festive, une vraie chienne qui hurlait et appelait à l’aide a été enfin sévèrement bâillonnée. Enlevée le matin même, elle était devenue la chienne soumise d’un détraqué mental fort riche. Réduite au silence, elle est à la fête, par chance pour Bbondy, elle eut plus de prétendant, les chiens préférant les vraies chiennes.
Un haut parleur annonce que le moment tant attendu de la soirée est arrivé. Il indique que tous les participants doivent réellement tenir leur furries et pets en laisse, loin des deux dernières chiennes bloquées dans les carcans.
L’usurpatrice sadique et horriblement perverse, a investi de l’argent avec un chimiste encore plus fou qu’elle. Sous prétexte de travailler sur les phéromones pouvant aider les couples à mieux vivre leur avancé dans l’âge, il a isolée de la sueur émanant des aisselles de jeunes femmes fertiles et sexuellement actives pour créer un nouveau produit. Il a réussi à créer une décoction de phéromones pouvant tromper les chiens et les emmener à sauter des hommes. Pour faire un test grandeur nature et sa publicité, elle a organisé une soirée pets et furries avec ses clients habituels qui n’hésitent pas à participer à des soirées plus sanglantes.....
Le propriétaire d’un élevage de grand danois arrive avec deux de ses plus beaux chiens mâles. Ils doivent peser aux environs de 60 kilos chacun et mesurer quasiment un mètre au garrot ce qui impressionne les amateurs de pets-play. Madame Clara enfile des gants puis vient verser la décoction de phéromones sur le corps de Bbondy. Quand elle lui murmure à l’oreille qu’il va vraiment découvrir ce qu’est être une chienne, il comprend aussitôt et se met à hurler puis se débattre.
Les chiens sont guidés vers Bbondy et la fille entravée en pleine crise d’hystérie. La décoction de phéromones est tellement efficace que les deux danois commencent à se battre pour la conquête de la femelle.
Comprenant qu’il est l’objet de la bagarre des chiens, Bbondy se met à prier tous les dieux de la terre. Ils ne seront pas plus à l’écoute que d’habitude, mais l’intervention du GIGN le sauvera de cette avanie.
Si on ne peut pas vraiment associer GIGN et un dieu, nous sommes d’accord, Bbondy sera malgré tout embarqué avec toutes les personnes présentes. Il sera libéré et conduit à l’hôpital pour une visite médicale. La bonne nouvelle est que les « chiens » qui l’ont sauté n’étaient pas porteur du HIV. Le lendemain, il retourna sur internet mais jura qu’on ne le prendrait plus et qu’il resterait sur Fessestivites.
FIN
TSM
Note de l’auteur :
Désolé Bbondy, j’avais envie de faire un peu de pub à la fin de cette histoire que j’ai écrite pour toi. Tu peux la copier et la diffuser où tu veux tant que tu ne supprimes pas ma signature d’auteur et ne modifies pas le texte. Si je t’ai fait peur, j’en suis ravi, MDR c’était mon but coquin avec cette petite histoire érotique.
Amicalement
TSM
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Très bonne histoire, pauvre Bbondy...ou sont fantasmes c'est réalisé ? |
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